Même si la majorité des Belges (52%) considèrent que la période du cancer à proprement parlé est plus dure à vivre que la période qui suit, ils sont 42% à penser que la préparation à l’après cancer est loin d’être suffisante. Sur le plan personnel, plus de 85% estiment que le cancer a un grand impact tant physique que psychologique. Aussi, pour plus de la moitié d’entre eux, le cancer altère les relations avec les proches. Et près de 40% sont d’avis qu’il est compliqué de retrouver une pratique sportive comme avant. Sur le plan financier, plus des trois quarts des répondants estiment que les frais liés à la maladie restent élevés malgré l’arrêt des traitements.