La santé n'a pas de prix, sauf quand on la perd malheureusement. Une fois les traitements finis, les patients qui ont traversé l'épreuve du cancer, n'en sortent pas "comme avant". Il y une période de transition, des étapes parfois difficiles, dont ils ont du mal à parler. Partenamut s'est engagé auprès de ses affiliés pour leur offrir un maximum d'avantage dans les soins de bien-être pour les aider à construire un corps sain dans un esprit sain.
Quand j'ai eu mon cancer, mon monde a été ébranlé, mais ce qui m'a le plus surpris, c'est deux ans après, à la fin des traitements, quand j'ai réalisé que sournoisement la dépression avait creusé son sillon (lire à ce propos mon article "La maladie s'en va, les questions demeurent" paru dans La Libre en décembre 2015).
Je souhaite que la santé, comprise comme la définition de l'OMS, c'es-à-dire un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité, soit accessible à tous.
Les malades du cancer subissent souvent une double peine: la maladie, et des conséquences socioéconomiques souvent désastreuses: perte d'emploi, troubles dans les relations avec l'entourage, difficulté d'emprunter...
Le coaching est un outil concret permettant à la personne de retrouver son autonomie. A travers une écoute active et bienveillante, et un processus de questionnement, le coach aide le coaché à mobiliser ses ressources pour sortir d’une situation problématique, atteindre son objectif et libérer son potentiel.
Grâce à des institutions comme Partenamut, le coaching devient un peu plus accessible. Je suis donc très fière de compter dans les rangs de ceux pour qui l'accès à la santé est une priorité!
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